
Le titre : No Sleep ‘Til Hammersmith
L’artiste : Motörhead
Le format : 33T/30 cm
La date de sortie : 1981
Le genre : Flashé au radar.
C’est qui ?: Un groupe mauvais pour la santé.
Qui joue dessus ?: Ian Fraser Kilmister, Eddie Clark, Phil Taylor
Comment ca sonne ? : Lourd
Qualité du pressage :
Bonne.
Réédition de 2015. Sanctuary/Bronze/BMG-Pressage EUR
Ce qu’on en pense:
Les enregistrements lives, en général, c’est pas fameux. Sauf pour certains groupes : les Stones, Nick Cave, The Fall, James Brown, Sonic’s Rendez Vous Band ou…Motörhead.
D’obscures légendes circulent sur le volume sonore des concerts de Motörhead, ceux d’une époque d’avant la limitation à 100 db. Notre préférée, c’est celle du mec qui raconte qu’il a été littéralement « couché » par un ligne de basse de Lemmy, renversé par le déplacement d’air devant les enceintes. Il est un peu con lui, faut être taré pour se mettre devant les enceintes.
En plus de produire une musique absolument tonitruante (en étant seulement trois sur scène), l’ensemble de cet enregistrement montre un groupe hyper en place, à la métrique implacable. Et pour ce genre de musique, ça compte. Le batteur fait des trucs que c’est pas possible ou alors c’est des re-re (ce qui est de la triche, mais n’est pas exclu) ou alors … les amphétamines c’est vraiment un truc de dingue.
Si vous n’aimez pas le Hard Rock, vous pouvez l’écouter quand même. Comme gueulait Lemmy à l’entame de chaque concert : « WE ARE MOTÖRHEAD. WE PLAY ROCK’N’ROLL! ». A juste titre.
Avec un usage approprié, ce disque devrait rapidement devenir le préféré de vos voisins.